1 avril 2011
Pour la troisème fois et pour trois ans.
Code en poche, je marchais seule et paisible dans les rues offensées par tant de soleil, sac de linge propre à l'épaule, une prune bien mûre à moitié dans ma bouche. Les enfants crient, ça sent bon dans la rue, même l'encens, près de cette épicerie "arabe" tenue par un vietnamien.
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